silence de la drh
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silence de la drh
bonjour, je reviens pour avoir un peu d'aide pour savoir comment je dois m'y prendre avec ma drh qui fait un déni de mon cas et me réponds sans arrets des gens comme vous on en a plein, on ne sait pas quoi en faire. J'ai été reconnue maladie professionnelle en 2008, et reconnue travailleur handicapée depuis novembre 2009. Je travaille dans un collège, je suis adjoint technique 2ème classe. Je suis agent d'entretien. En deux ans, j'ai vu 6 fois la medecine du travail qui préconise un aménagement du poste, une conseillère en santé et contact régulier avec un coordinateur qui fait la passerelle entre le cg et le collège. Lui m'incite à passer des concours histoire de m'occuper à quelque chose et avoir la paix. La medecine du travail ne m'a pas déclarée inapte.Je suis en activité avec des arrêts maladies quand je vais mal. Je commence vraiment à déprimer, je voudrai s'avoir si la dépression peut être considérée comme une conséquence de la maladie professionnelle. Je suis syndiquée auprés d'un syndicat envers qui je pensais avoir confiance mais la c... ne bouge pas malgré mes relances. J'ai signé la petition en ligne contre le harcèlement . Il est vrai que l'on est tout petit face à ces gens qui vous considèrent comme des paquets. J'ai vu l'assistante sociale du personnel très sympa mais ses pouvoirs sont limités. Que puis je faire ? Voir un psychiatre et me mettre en arrêt pour peut être exister? Je dois commencer un bras de fer avec l'administration? aucun courrier en deux ans, aucun conseils, rien... N'ont -ils pas un devoir de conseil? d'information? que ceux qui peuvent me donner donner des infos je suis preneuse. merci d'avance
Re: silence de la drh
Bonjour,
Le silence, l'absence de réponse à des courriers voilà qui peut tuer...
Oui, le silence est assassin.
Ces mots ne sont pas trop forts, ils sont vérité.
Si je compte le nombre de courriers que j'ai pris le temps d'écrire, si je compte l'argent que j'ai dépensé en LAR, si je compte le temps perdu à peser les mots pour rester correcte et polie malgré ma rage alors je me dis que ce silence, est une arme redoutable entre les mains des chefaillons toutes catégories.
Le silence est destructeur ils le savent.
Au bout du compte, quoiqu'ils fassent... ou ne fassent pas, malheureusement, ils ont ce petit pouvoir contre lequel se battre est usant.
Nous en revenons toujours au même problème : l'absence d'un organisme vers qui se tourner quand les choses commencent à ne pas tourner rond, quand on voit que cela sent mauvais pour nous.
Tout va si vite après... la spirale se met à tourner, tourner...
Tenir bon malgré tout, résister, garder la tête haute mais comment faire sans soutien.
Très déçue aussi d'un syndicat que je représentais, lâchement abandonnée par des responsables qui n'ont jamais voulu témoigner des propos insultants et humiliants tenus par le maire, j'ai fui.
Fuir pour ne pas mourir.
Déranger, être de trop... dans ta vie professionnelle tu peux le ressentir parce qu'on te mets cela dans la tête.
Mais pense à ta vie de famille.
As tu des enfants ?
Pense à toi.
Tu es unique. Tu ne mérites pas ce mépris.
Ce n'est pas par la maladie qu'on peut exister mais tu as besoin d'être protégée.
La force de l'administration c'est ce silence.
Le conseil que je te donnerais est celui de fuir tant qu'il en est temps.
Cet avis là ne plaît pas, je le sais mais je parle en toute connaissance de cause.
Je reprends du souffle et de la force pour, sortie de l'enfer, me battre, juridiquement maintenant.
Dans la fonction publique territoriale, il est si facile de bafouer nos droits. Un jeu d'enfant et pour les pervers, un jeu tout court. Une amusette, un passe-temps, un loisir aussi.
Charlimat, je ne te suis pas d'un grand réconfort mais pense à toi. Tu vaux plus qu'eux et ils le savent.
Merci pour ta signature sur la pétition.
Le silence, l'absence de réponse à des courriers voilà qui peut tuer...
Oui, le silence est assassin.
Ces mots ne sont pas trop forts, ils sont vérité.
Si je compte le nombre de courriers que j'ai pris le temps d'écrire, si je compte l'argent que j'ai dépensé en LAR, si je compte le temps perdu à peser les mots pour rester correcte et polie malgré ma rage alors je me dis que ce silence, est une arme redoutable entre les mains des chefaillons toutes catégories.
Le silence est destructeur ils le savent.
Au bout du compte, quoiqu'ils fassent... ou ne fassent pas, malheureusement, ils ont ce petit pouvoir contre lequel se battre est usant.
Nous en revenons toujours au même problème : l'absence d'un organisme vers qui se tourner quand les choses commencent à ne pas tourner rond, quand on voit que cela sent mauvais pour nous.
Tout va si vite après... la spirale se met à tourner, tourner...
Tenir bon malgré tout, résister, garder la tête haute mais comment faire sans soutien.
Très déçue aussi d'un syndicat que je représentais, lâchement abandonnée par des responsables qui n'ont jamais voulu témoigner des propos insultants et humiliants tenus par le maire, j'ai fui.
Fuir pour ne pas mourir.
Déranger, être de trop... dans ta vie professionnelle tu peux le ressentir parce qu'on te mets cela dans la tête.
Mais pense à ta vie de famille.
As tu des enfants ?
Pense à toi.
Tu es unique. Tu ne mérites pas ce mépris.
Ce n'est pas par la maladie qu'on peut exister mais tu as besoin d'être protégée.
La force de l'administration c'est ce silence.
Le conseil que je te donnerais est celui de fuir tant qu'il en est temps.
Cet avis là ne plaît pas, je le sais mais je parle en toute connaissance de cause.
Je reprends du souffle et de la force pour, sortie de l'enfer, me battre, juridiquement maintenant.
Dans la fonction publique territoriale, il est si facile de bafouer nos droits. Un jeu d'enfant et pour les pervers, un jeu tout court. Une amusette, un passe-temps, un loisir aussi.
Charlimat, je ne te suis pas d'un grand réconfort mais pense à toi. Tu vaux plus qu'eux et ils le savent.
Merci pour ta signature sur la pétition.