bonjour,
Le temps pour faire un préinscription est pour moi un faux problème.
Citronade, si ce n'est déjà fait, par curiosité, créez vous un compte ANTS, et vous verrez.
Perso, je me refuse à le créer à la place des gens. Il est personnel. Et comme l'aide aux préinscription est destinée aux personnes qui ne maîtrisent pas internet et/ou ne dispose pas de connexion ou de matériel, je ne vois pas comment le faire à leur place. Ce site amène bien plus qu'une question de renouvellement de CNI. Il gère VOS titres SECURISES. Je ne veux pas créer, donc disposer, des identifiants des usagers.
De plus, nul part je ne dispose d' un matériel à mettre à disposition pour préserver le confidentialité.
Mais de toute façon, dans "mes" petites communes (35 à 200 hbts), j'estime à moins de 40% les personnes qui peuvent maitriser un tel dispositif. Sans aucune exagération. Et ceux qui le peuvent disposent du nécessaire.
Pourquoi ne pas créer un site sécurisé uniquement destiné à cet usage, avec des identifiants communaux ?
Sinon, je continuerai à faire un pré-contrôle de la complétude papier du dossier. Pour au moins éviter un AR inutile., et quand même aider autant que faire se peut les collègues en amont.
Mais surtout, comment expliquer que maintenant le renouvellement de CNI se fera à 40 km de chez sois, (20 km en moyenne) à uniquement aux heures de travail ? sur rendez vous ??!! Pas le samedi ... Quand on a que ses enfants pour aider aux déplacements, pas ou plus de permis, j'en passe et des plus tristes ? une commune d'une certaine importance, plus centrale, se rendant compte de la situation, avait demandé à devenir centre. Les services de l'Etat lui on refusé, estimant le secteur suffisamment couvert. Une gestion uniquement comptable.
Beaucoup, face à cette complexification, ne feront pas le renouvellement. Et quand la présentation de la carte sera indispensable (entrée en hôpital, en maison de retraite, dossier d'aide sociale...) ben... c'est sur le travailleur social que ça retombera.
tout ça vient en plus d'un tas d'autres bouleversements locaux qui passent mal. On déchiquette le tissus social.